La Commission Méditerranée de CGLU était présente et active au 4ème Congrès de CGLU - Sommet Mondial des dirigeants locaux et régionaux du 1er au 4 octobre 2013 à Rabat.
La 2ème réunion du Conseil politique de la Commission Méditerranée s’est tenue le 2 octobre matin.
Autour de la co-présidence de la Commission, M. Vauzelle, président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et M. Rocca Serra, adjoint au Maire de Marseille et du président du Conseil politique, M. Boudra (président de la Région Taza-Al Hoceïma- Taounate), étaient présents les élus locaux et régionaux méditerranéens suivants : M. Trias, Maire de Barcelone, Mme. Ortega i Alemany, vice-présidente de la Région Catalogne, M. Viola, président de Conseil général de l’Aude, M. Ghazal, maire de Tripoli, M. Shakaa, Maire de Naplouse, M. Savas, maire d’Antioche, M. Ould Hamza, président de la Communauté Urbaine de Nouakchott, M. Buraziza, président du Conseil local de Benghazi et M. Bouazzi, maire de Kasserine. Mme. Bresso, 1ère vice-présidente du Comité des Régions était également présente au titre de l’ARLEM.
Les élus ont adopté une Charte en faveur de la gouvernance démocratique en Méditerranée et débattu des futurs axes de travail de la Commission Méditerranée pour le mandat à venir (2014-2016).
La session "Dynamiques de changement en Méditerranée" a été co-organisée avec la Commission Diplomatie des villes et coopération au développement et le Groupe de travail sur le Proche-Orient de CGLU, le 3 octobre après-midi.
Cette table ronde a été animée par deux spécialistes, Mme Akrimi, directrice du Centre pour la Gouvernance Locale Innovante en Tunisie et M. Jean-Paul Chagnollaud, directeur de l’IReMMO en France.
Elle a permis de faire un point sur les changements profonds connus par certains pays mais également sur les enjeux des conflits pour les élus locaux et régionaux. Elle a été une formidable occasion de recueillir les témoignages d’élus qui gèrent au quotidien la transition institutionnelle et opérationnelle dans des environnements encore flous et mouvants ou encore les conséquences directes et indirectes des conflits.