Trait d’union entre les dynamiques locales et mondiales
Les villes intermédiaires sont des villes ayant une population comprise entre 50 000 et un million d’habitants.
Elles abritent 20 % de la population mondiale et un tiers de la population urbaine totale.
En raison de leur taille, i-villes peuvent garantir un logement et les besoins de base pour fournir leur citoyenneté de manière efficace et à moindre coût que les zones métropolitaines.
Au regard de leur rôle essentiel pour « faire en sorte que les villes et les établissements humains soient inclusifs, sûrs, résilients et durables » (Objectif 11 des Objectifs de développement durable – ODD) et pour construire des systèmes urbains plus équilibrés, il est impératif d’accorder un plus grand poids aux villes intermédiaires dans le Nouvel Agenda Urbain et sa mise en oeuvre.
Agenda pour les villes intermédiaires - messages clés
Reconnaitre le rôle des villes intermédiaires dans la réalisation de l’agenda 2030 et du nouvel agenda urbain
La ville afin de soutenir les villes intermédiaires et promouvoir un développement territorial et urbain plus équilibré et inclusif
Libérer le potentiel des villes intermédiaires pour qu’elles puissent assumer pleinement leur responsabilité en termes de développement urbain
Tirer profit de la proximité et de l’échelle humaine comme atouts essentiels des villes intermédiaires qu’il faut préserver
Les villes intermédiaires devraient améliorer leur visibilité
Encourager le développement régional, favoriser une coopération plus étroite entre les zones urbaines et rurales
Développer des politiques économiques locales ambitieuses afin de créer de nouvelles opportunités et de s’adapteaux changements économiques nationaux et mondiaux
Inclure la lutte contre les inégalités croissantes dans le développement de politiques sociales pour assurer un accès abordable aux services de base, à la santé et à l’éducation
Améliorer l’empreinte environnementale urbaine
Assurer l’accès et la participation à la culture et à une vie culturelle ouverte à tous
Promouvoir l’approche du « droit à la ville »