Bureau Exécutif de CGLU 2021

 
La séance statutaire du Bureau exécutif aura lieu le jeudi 20, précédée d'un débat politique.
 
Le Comité de gestion financière et la Commission des affaires statutaires se réuniront respectivement les 18 et 19 mai.
 
Les sessions thématiques et les dialogues de haut niveau suivants sont maintenant confirmés :
  • Session thématique : Un rôle renouvelé pour les gouvernements locaux et régionaux dans la coopération au développement : vers une nouvelle orientation politique de CGLU, mardi 18
  • Session thématique : De la gestion de la migration à une approche de la mobilité humaine fondée sur les communautés : vers la Charte de Lampedusa, mardi 18
  • Dialogue politique d’ouverture de haut niveau : Numérisation inclusive : présent et futur de la prestation de services, mercredi 19
  • Dialogue politique de haut niveau : Des personnes et des territoires en bonne santé à l’origine de notre bien-être, jeudi 20

 

Programme du Bureau Exécutif de CGLU

  • Jour 2: 19.05.2021: Numérisation inclusive : présent et futur de la prestation de services

  • Jour 3: 20.05.2021 Exploiter le potentiel des politiques locales pour façonner une société qui prend soin

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 Jour 1: 18.05.2021: vers une nouvelle orientation politique de CGLU

Le Bureau exécutif 2021 a débuté avec la solidarité en tête de nos priorités, en s'appuyant sur les actions menées par les gouvernements locaux et régionaux l'année dernière. La Secrétaire générale, Emilia Saiz, a ouvert la journée en soulignant que le Bureau nous permet de construire un programme de travail que nous devons développer ensemble, et a déclaré que c'est le moment d'approfondir les sujets qui ont besoin d'une plus grande implication, comme la coopération au développement et la migration, deux de nos sujets clés pour la journée. 

La première journéedu Bureauexécutif de CGLU a donc commencé par aborder l'importance de la coopération internationale au sein de CGLU. À cet égard, la session sur le rôle renouvelé des gouvernements locaux et régionaux dans la coopération au développement a souligné l'importance de la coopération au développement sur la localisation des ODD, et comment la pandémie nous appelle à nous réinventer, et à renouveler les relations avec les partenaires, les gouvernements nationaux, la communauté internationale et autres parties prenantes.

Lors d'une session qui a rassemblé plus de 120 participant·e·s, dont des représentant·e·s d'associations de gouvernements locaux et régionaux telles que CLGF, Mercociudades, Cités Unies Liban, FEMP, SALGA, ou Al-Las, le document sur la coopération au développement, élaboré par le groupe de travail CIB et CGLU, a été présenté, les contributions des membres alimentant le document final.

« Face au COVID-19, le document d'orientation sur la coopération au développement sera utile pour guider les villes dans la promotion de voies vers une relance plus durable et plus résiliente. »  Li Xiaoyan, directrice adjointe du Bureau municipal des affaires étrangères de Xi'an.

« Nous devons changer le statu quo. Le document d'orientation est l'occasion d'intensifier les projets de coopération au développement réussis que les partenaires du développement jugent acceptables. » Barbara Samuels, conseillère UBUNTU

« Il est nécessaire de consolider un effort plus cohérent en vue de la transformation des conditions de vie des plus vulnérables, dans toutes les questions pertinentes pour les pays en développement. » Xolile George, directeur général, SALGA

L’égalité des genres est un domaine dans lequel les gouvernements locaux et régionaux peuvent jouer un rôle plus important et nous devons l'introduire stratégiquement dans le document d'orientation, en veillant à ce que nous, en tant que gouvernements locaux et régionaux, ayons un engagement direct.

Le volet statutaire de la journée a débuté avec la réunion du Comité de gestion financière, qui a présenté le projet de budget pour 2021 ainsi que les demandes d'adhésion. La session a été présidée par les trésorier·e·s Berry Vrbanovic, maire de

Kitchener, et Madelaine Y. Alfelor-Gazman, maire d'Iriga, qui ont noté que CGLU a fait preuve de résilience en continuant à faire le travail d'une manière différente avec le soutien des membres et des partenaires, et que les activités progressent.  

La Commission de CGLU sur l'inclusion sociale, la démocratie participative et les droits humains a tenu sa réunion annuelle dans le cadre de notre Bureau. A cette occasion, les représentant·e·s de la Coprésidence de la Commission ont partagé des pr

opositions concrètes de mise en réseau pour la période 2021-22, allant de la campagne des villes pour les droits humains à la violence contre les femmes, la paix et autres questions de droit à la ville. Le même événement a également permis aux membres

 de la Commission de discuter de la feuille de route des droits humains 2021-22, y compris une nouvelle initiative #LearningwithUCLG, un partenariat renforcé sur les droits humains avec le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l'ONU et le processus de suivi de la Charte des droits humains dans la ville.

Le processus de mise à jour de la Charte des droits humains dans la ville permettra aux gouvernements locaux et régionaux de co-créer une vision globale renouvelée des droits humains, ancrée dans les réalités et les perspectives locales. Plus d'informations sur ce processus sont disponibles sur l'espace UCLGMeets dédié à ce processus.  

« Les gouvernements locaux sont des territoires de résistance et de résilience où nous défendons et conquérons les droits humains au quotidien. Nous sommes des territoires d'innovation où nous trouvons des solutions. Nous vous invitons à rejoindre le processus de suivi de la Charte-Agenda des droits humains dans la ville pour concrétiser cette vision. » Philippe Rio, maire de Grigny et coprésident de la Commission de CGLU sur l’inclusion sociale, la démocratie participative et les droits humains. 

Pour conclure la journée, la session intitulée « De la gestion de la migration à une approche de la mobilité humaine fondée sur les communautés : vers la Charte de Lampedusa » a permis à notre Bureau exécutif de discuter de la Charte de Lampedusa, dans le cadre d'une consultation visant à comprendre comment chacun des membres peut contribuer au processus, et à mettre en lumière les initiatives de villes telles que Lampedusa, Montevideo, Fuenlabrada et Mersin, qui devraient jouer un rôle de premier plan dans le processus de la Charte. 

« D'abord et avant tout, tous les droits de l'homme doivent être respectés. Les GLR doivent élever leur voix et la faire entendre, sur la migration et sur les droits - des citoyens, des personnes en déplacement, les droits de tous. » Totò Martello, maire de Lampedusa

Le premier jour du Bureau exécutif a également accueilli le Caucus européen, organisé par le CCRE, au cours duquel la vice-présidente de CGLU, Carola Gunnarsson, a exprimé l'alignement total sur les priorités de CGLU. La session a également permis de partager les projets et initiatives du CCRE et de Platforma, qui contribuent à la localisation des #ODD en Europe et au-delà.

Et c'est ainsi que s'achève la première journée de notre Bureau Eeécutif de #UCLGMeets ! Restez à l'écoute demain pour le dialogue de haut niveau d'ouverture du bureau, sur de la numérisation, et les réunions de la Commission des affaires statutaires et d'UNACLA !

Revivez les sessions sur CGLU TV.

Lisez cette nouvelle spéciale de la session thématique sur la Charte de Lampedusa dans notre Bureau exécutif.


Jour 2: 19.05.2021 Numérisation inclusive : présent et futur de la prestation de services

La deuxième journée de notre Bureau exécutif a permis d’engager la discussion sur les nouveaux éléments essentiels.  Le dialogue politique de haut niveau sur la numérisation a montré comment les gouvernements locaux et régionaux comprennent la technologie au-delà de l'utilisation du numérique, et leurs efforts pour s'assurer qu'elle soit au service des personnes et de la planète au lendemain du COVID-19.

« Notre objectif est de faire en sorte que la technologie ne creuse pas les inégalités mais qu'elle nous aide à renforcer la démocratie, à améliorer la qualité de vie des personnes, à réduire l'utilisation des ressources naturelles et à favoriser le développement des potentiels individuels de nos citoyens partout, jeunes et âgés ».

Jan Van Zanen, maire de La Haye, président de VNG et coprésident de CGLU

« Vous pouvez avoir la meilleure technologie qui soit, mais vous avez besoin des personnes pour optimiser la technologie. Quel que soit le gouvernement avec lequel vous travaillez, il s'agit de compétences. Nous collaborons avec les agents publics pour leur permettre de mieux travailler, d'utiliser la numérisation ».

Hugh Eaton, vice-président de Microsoft

CSALa Commission des affaires statutaires s'est réunie pour examiner la feuille de route du Forum des régions, qui a été communiquée aux membres du Bureau avant la réunion, et pour traiter de la prochaine réunion du Forum qui aura lieu avant le Conseil mondial. La session a également abordé l'évaluation externe de CGLU, l'une des priorités identifiées par la Présidence, visant à analyser la performance de l'Organisation et sa capacité à s'adapter à un écosystème en mutation.

« En fin de compte, cela dépend de nous : nous sommes une organisation dynamique, et nous devons nous assurer que nous continuons à être réactifs et que nous répondons aux besoins de nos membres. » Berry Vrbanovic, maire de Kitchener et trésorier de CGLU.

« Tout ce dont nous discutons ici se situe dans le cadre du nouveau contrat social que nous visons, le Pacte pour l'avenir, qui redéfinira les piliers de notre stratégie, avec et pour les gens, la planète et le gouvernement ». Mohamed Boudra, maire d'Al Hoceima, président de l’AMPCC et président de CGLU.

A la fin de la journée, le Bureau exécutif de CGLU a accueilli la réunion d'UNACLA ; une session historique pour cette instance, avec des représentant·e·s des réseaux de la Global Taskforce des gouvernements locaux et régionaux tels que ICLEI et CLGF, et la présence de la directrice exécutive d'ONU-Habitat, Maimunah Mohd Sharif. Présidée par le coprésident d'UNACLA et maire de Kazan, Ilsur Metshin, la session a abordé la prochaine réunion de haut niveau des Nations unies sur l'examen de la mise en œuvre du nouvel agenda urbain et Quito +5, et la façon dont notre réseau se prépare à montrer l'importance du nouvel agenda urbain en tant qu'accélérateur de la mise en œuvre des ODD. 

La session a également rappelé l'importance de l'Assemblée mondiale des gouvernements locaux et régionaux en tant qu’espace permettant d’approfondir le débat sur la reconnaissance des gouvernements locaux et régionaux comme acteurs formels dans l'examen et le suivi du nouvel agenda urbain, les participant·e·s appelant à la nécessité de veiller à ce qu'UNACLA puisse avoir une plus grande influence sur les résolutions qui seront adoptées par ONU-Habitat. Le groupe de travail des Nations unies sur l'avenir des villes, nouvellement créé, a également participé à la réunion et souligné le rôle qu'UNACLA peut jouer pour aider à rapprocher les gouvernements locaux et régionaux de la préparation du rapport du Secrétaire général des Nations unies.

« Profitons de cette journée pour réfléchir à l'opportunité de revitaliser UNACLA dans le cadre d'une coopération accrue entre les Nations unies et le réseau des gouvernements locaux et régionaux. Je réaffirme mon engagement à faire en sorte que les gouvernements locaux et régionaux soient reconnus à tous les niveaux du système multilatéral » Maimunah Mohd Sharif, directrice exécutive de ONU Habitat, coprésidente d'UNACLA

« Nous devons donc veiller à ce qu'UNACLA puisse jouer un rôle fort et donner des conseils représentatifs sur toutes les questions liées aux gouvernements locaux, en assurant un pont entre les gouvernements locaux et régionaux et le système des Nations unies » Ilsur Metshin, maire de Kazan, coprésident d'UNACLA

« Nous devons améliorer notre collaboration en ces temps difficiles. Le travail du groupe de travail des Nations unies sur l'avenir des villes est une merveilleuse occasion de faire progresser notre plaidoyer commun » Atishi Marlena, membre de l'assemblée législative du territoire de la capitale nationale de Delhi, vice-présidente d'ICLEI et vice-présidente d'UNACLA.

« Quito+5 sera une étape critique. Nous sommes prêts à nous associer à ce processus de suivi, afin de garantir que les voix de nos membres et de notre peuple y soient reflétées »  Révérend Mpho Moruakgomo, président de CLGF, vice-président d'UNACLA.

Notre Bureau exécutif #UCLGMeets s’achève demain, avec un dialogue politique de haut niveau sur le thème de la santé, et le débat stratégique et la session statutaire de notre Bureau exécutif, qui débattra de ce que signifie « prendre soin » pour nos dirigeant·e·s et la nécessité de renforcer les nouveaux biens communs essentiels. Ne manquez pas cet événement ! 

Jour 3: 20.05.2021: Exploiter le potentiel des politiques locales pour façonner une société qui prend soin

Lors de la dernière journée de notre Bureau exécutif #UCLGMeets, plus de 220 participant·e·s se sont réuni·e·s pour débattre de la question des soins dans l'élaboration de nos politiques. Pour la première fois dans une réunion statutaire de CGLU, nous avons célébré notre dialogue de haut niveau sur la santé, qui visait à intégrer la santé au-delà du concept de soins dans les villes. Lors de cette session, présidée par le maire de Konya, des partenaires du secteur de la santé, tels que l'Organisation mondiale de la santé, le mouvement CSU2030 et City Cancer Challenge, ainsi que les maires de Genève, Brazzaville, Soria, Esteban Echevarria et Libreville, et des représentant·e·s de Jakarta, du Conseil provincial de Barcelone et de l'Association du peuple chinois pour l'amitié avec les pays étrangers, ont souligné l'importance d'intégrer les gouvernements locaux et régionaux dans les processus décisionnels afin de garantir le bien-être des communautés.

« Pour aller de l'avant, j'espère que les messages inspirants que nous entendons de vous tous aujourd'hui nous permettront de façonner l'avenir de la santé dans nos villes, en impliquant nos communautés dans les décisions qui les protégeront, et en contribuant au renouvellement du contrat social qu'est notre Pacte pour l'avenir : pour les personnes, pour la planète, pour le gouvernement. »  Uğur Ibrahim Altay, maire de Konya et coprésident de CGLU.

« Améliorer notre capacité de préparation nécessite une approche de toute la société et inclut des systèmes de santé suffisamment résilients. Les villes ont besoin d'une meilleure évaluation des risques et des lacunes prioritaires, pour le renforcement des capacités, tout en appelant l'écosystème des acteurs de la ville à travailler ensemble. » Dr. Stella Chungong, directrice de la préparation à la sécurité sanitaire, OMS

« Les villes et les gouvernements locaux marquent une énorme différence dans le domaine de la santé et font le lien entre les accords mondiaux et les réalités locales, pour en faire bénéficier les populations et leur apporter des solutions. C'est pourquoi votre présence est si cruciale. » Gabriela Cuevas, coprésidente de CSU2030. 

Le débat politique de notre Bureau exécutif a réuni des membres de notre leadership, tels que le Président, Mohamed Boudra, et la Coprésidente et présidente de SALGA, Thembisile Nkadimeng, ainsi que les maires de Samara, Banjul et Fano, la sous-secrétaire générale des Nations unies et directrice exécutive d'ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngucka, la directrice du Centre de l'OCDE pour l'entrepreneuriat, les PME, les régions et les villes, Lamia Kamal, parmi de nombreux maires et partenaires. Le directeur de Cities Alliance, Greg Munro, a également pris la parole, tout comme le directeur de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, par le biais d'un message vidéo, lors d'une session qui a mis au centre l'importance des femmes dans le développement des villes et des territoires qui prennent soin, et qui a également ajouté la dimension du temps et de son utilisation, ainsi que les nouveaux biens communs qui doivent être encouragés par nos territoires.

« Au cours de ces mois, il a été difficile de mener à bien notre tâche d’aider les résidents pauvres des villes, mais je suis sûr que notre travail avec CGLU sera essentiel pour améliorer notre travail général pour nos communautés. » Greg Munro, directeur de Cities Alliance

« Nous devons corriger le tir, nous avons besoin des femmes à tous les stades de la prise de décisions. C'est pourquoi nous appelons les institutions locales et régionales, nationales et internationales, à améliorer les conditions de travail dans les emplois liés aux soins. » Thembisile Nkadimeng, maire de Polokwane, présidente de SALGA et coprésidente de CGLU.

« Il est essentiel de collaborer pleinement entre les sphères de gouvernement et d'impliquer toutes les parties prenantes dans le processus. De la part de CGLU, il est clair que notre rôle doit être en phase avec la réalité de nos territoires, et que notre rôle en tant que sphère de gouvernement à part entière doit être reconnu. » Mohamed Boudra, maire d'Al-Hoceima, président de l’AMPCC et président de CGLU

« Nous appelons à une société bienveillante qui veille à l'intérêt des filles partout dans le monde. Vous, dirigeants locaux et régionaux, faites partie de Génération Egalité, des parties prenantes qui répondent là où les femmes et les filles ont besoin d'attention. » Phumzile Mlambo-Ngcuka, secrétaire générale adjointe des Nations unies et directrice exécutive d'ONU-Femmes.

La session formelle de notre Bureau exécutif a été présidée par trois membres de notre Coprésidence. Le Coprésident et maire de Xi'an, Li Mingyuan, a introduit la session en soulignant l'engagement de CGLU en faveur de la création d'un monde qui intègre la solidarité, les soins et l'égalité. Son segment comprenait la présentation des rapports de la Commission des affaires statutaires et du Comité de gestion financière, présentés par les Trésorier·e·s, Berry Vrbanovic, maire de Kitchener, et Madelaine Alfelor, maire d'Iriga. Le Président Boudra a présenté les mises à jour de notre plan de travail de l'année, en soulignant comment nous travaillons vers une « meilleure normalité » tout en nous concentrant sur les droits, et nous avons présenté le prochain Sommet Culture de CGLU à Izmir.

 

« Le travail que nous faisons ensemble peut être crucial pour nos villes et aussi pour les générations futures. CGLU s'engage à créer un meilleur avenir en intégrant la solidarité, les soins et l'égalité. Je suis fier de notre Organisation et du travail que nous réalisons ensemble. » Li Mingyuan, maire de Xi'an et coprésident de CGLU

Le deuxième segment, présidé par Thembisile Nkadimeng, a abordé certains des points qui feront partie de nos nouveaux éléments essentiels. La Charte de Lampedusa sur la migration, le document de politique sur la coopération au développement et l'implication de CGLU dans les Forums Génération Egalité ont été identifiés comme essentiels pour l'avenir.

« Notre espoir est que la Charte de Lampedusa puisse être la "Charte pour nous tou·te·s", et qu'elle ne représente pas un point d'arrivée mais un point de départ pour promouvoir des actions, pour "laisser une trace" et pour imprimer un changement dans l'approche actuelle de la question des flux migratoires. » Totò Martello, maire de Lampedusa et conseiller politique de CGLU

« Notre Décalogue de CGLU pour l'ère post-COVID reconnaît que la solidarité est une garantie de sécurité. Toutes nos contributions à la coopération au développement sont essentielles pour atteindre les objectifs mondiaux. » Rob Metz, maire de Soest et conseiller politique de CGLU

Le troisième et dernier segment, présidé par le Coprésident et maire de San José, Johnny Araya, visait à s'appuyer sur ces nouveaux éléments essentiels pour redéfinir nos priorités. L'accent territorial pour l'ère urbaine, la redéfinition de la gouvernance et notre initiative sur la gouvernance d'urgence avec la London School of Economics-Cities, le financement local et le rôle de notre collectif vis-à-vis de Quito + 5 et des Nations unies ont été les principaux points de l'ordre du jour, dans un segment qui comprenait également l'engagement de notre Organisation mondiale pour le maintien de la paix et des droits humains en Palestine et au Myanmar, et la nécessité d'intégrer les jeunes.

« Une chose n'a pas changé lors de cette pandémie : la solidarité dont nos gouvernements locaux et régionaux ont fait preuve depuis le début de cette crise, envers les communautés mais aussi entre eux dans le cadre de notre Organisation mondiale. » Johnny Araya, maire de San José, président de FLACMA et coprésident de CGLU

Nous voici arrivé·e·s à la fin ! Notre Bureau exécutif virtuel s'achève, traçant la voie pour les réunions à venir. Nous attendons avec impatience les prochaines réunions #UCLGMeets !

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